Le titre de cette littérature est fallacieux. Ce manifeste a
été conçu pour réagir en riposte contre le
rapport
français de la Commission d'enquêtes sur les sectes au
dire des auteurs :
-
Massimo Introvigne (*), professeur de sociologie à l'université
théologique d'Italie du Sud, membre de l'Alleanza cattolicà
(représentant italien de la secte Travail Famille Patrie),
fondateur avec Jean-François Mayer du CESNUR.
-
Jean Vernette, délégué de l'épiscopat français
pour les questions concernant les sectes et nouvelles croyances
-
Gordon Melton, un des responsables du CESNUR
-
Jean Baubérot, professeur à l'École pratique des hautes
études et directeur du groupe de sociologie des religions et de
la laïcité au CNRS
-
Luigi Berzano, prêtre du diocèse d'Asti et professeur de sociologie
des religions à l'université de Turin
-
Régis Dericquebourg, maître de
conférences à l'université de Lille et membre du groupe
de sociologie des religions et de la laïcité au CNRS ;
-
Antoine Faivre, directeur d'études, titulaire de la chaire d'histoire
des courants ésotériques et mystiques dans l'Europe modeme
et contemporaine à l'École pratique des hautes études)
;
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Philippe Gast, docteur en droit
-
Susan Palmer, professeur de sciences religieuses au Dawson College de Montréal)
-
Émile Poulat, professeur et directeur d'études à l'École
des hautes études en sciences sociales et directeur de recherches
au CNRS
-
James T Richardson, professeur de sociologie et directeur d'études
sur la sociologie du droit à la University of Nevada
-
Olivier-Louis Séguy, avocat
-
Bryan R. Wilson (*), professeur émérite de sociologie à
l'université d'oxford
(*) : Témoins en faveur de la Scientologie
lors du procès de Lyon en octobre 1996.
Bernard Fillaire, journaliste, a rassemblé des déclarations
édifiantes de ces "experts".
Le CRASER a rédigé un
essai intitulé Pour en finir avec Massimo,
et paru dans le Monde Libertaire.