Mille excuses pour la présentation lugubre et le ton acerbe de
cette page, mais comment peut-il en être autrement vus les faits
sordides concernant une secte qui se prétend "humaniste"
? Si vous êtes toujours convaincus que la Scientologie n'est qu'une
religion fantaisiste et bizarre, cette page est faite pour vous.
Petite précision : les faits présentés ici
se sont produits essentiellement dans d'autres pays que la France, et majoritairement
aux États-Unis. Cela ne signifie pas pour autant que les scientologues
français soient à l'abri de ces dangers. La Sea Org,
branche dite "élite" de la Scientologie et dont le QG est basé
aux Etats-Unis, recrute également parmi les adeptes français.
Flag,
surnommée "la Mecque de la Scientologie" et basée à
Clearwater en Floride, sollicite fréquemment tous les scientologues
pour effectuer un séjour chez eux. Flag est hébergé
par l'hôtel Fort Harrisson (voir l'image ci-dessous), dont l'immeuble
et ses environs constituent le triste théâtre des témoignages
les plus édifiants évoqués ici.
Une des images alléchantes présentées
par Flag aux scientologues du monde entier
(source : page 4 du magazine Sources, nouvelles récentes
de Flag Land Base, début 1997)
La plupart des documents indiqués sur cette page se trouvent
hébergés sur d'autres sites, en particulier sur celui
de Roger Gonnet, ex-scientologue.
Morts et
suicides étranges jalonnent la voie scientologique. Document traduit
par Roger Gonnet. Voici une triste litanie de cas de suicides, de personnes
devenues psychotiques ou de décès suite à des traitements
scientologiques, ou d'ordres de suicide (EOC
dans le jargon scientologue).
Scientologisme
et Nazisme. Les parallèles. Document traduit par Roger Gonnet.
Face à leurs opposants, les scientologues se déclarent victimes
d'une persécution religieuse et vont jusqu'à faire le parallèle
de leur situation avec celle de la communauté juive à l'époque
des exactions nazies. Pourtant, en examinant de près le cas de la Scientologie,
on y trouve surtout des similitudes avec le côté des tortionnaires.
La Scientologie est armée et dangereuse,
d'après la déclaration sous serment d'Andre Tabayoyon. L'auteur
certifie que la base "Gold" à Hemet (Californie) s'est dotée
d'un impressionnant stock d'armes non déclarées, qui peuvent
être utilisé pour faire face à une éventuelle attaque
des autorités en cas de crise.
"Toute loi s'appliquant au comportement des hommes et
femmes s'applique aussi aux enfants". Ron Hubbard (livre "Comment vivre avec les enfants").
Pour une secte qui affirme vouloir "sauver l'humanité",
elle a une façon bien singulière de lui préparer son
avenir. Les enfants sont considérés par la Scientologie comme
du
"personnel basses-statistiques", en d'autres termes de faible
productivité. Alors il est mal vu aux parents de leur accorder beaucoup
d'attention, car il y a plus urgent à réaliser : "clarifier
la planète". Souvent livrés à eux-mêmes,
les enfants sont dans le moule de la secte dès leur plus jeune âge.
Arrivés à l'âge adulte, ils ne connaissent pas grand
chose d'autre de la vie que tout ce qui a trait à la Scientologie.
Dans la Sea Org, les membres n'ont plus le droit de procréer
(ordre de Flag n° 3905, 28 septembre
1986). La secte laisse la lourde charge d'assurer la pérennité
de l'espèce humaine aux non-scientologues ; avec l'intention de
recruter parmi leurs progénitures et éventuellement les "déconnecter"
des liens familiaux, dès qu'ils sont adultes et en âge d'être
productifs...
Témoignages :
J'ai encore
des cauchemards. Article du St Petersburg Times, 10 novembre 1991. Beth,
la fille de Dennis Erlich, (devenu un des plus farouches opposants à
la secte), raconte son enfance scientologue : dès l'âge de 11
ans, elle a signé un contrat d'1 milliard d'années pour
la Sea Org et travaillé plus de 50 heures par semaine pour la secte,
en plus de son activité scolaire. Son avenir semblait tout tracé
dans la Scientologie vues ses difficultés scolaires (ce qui dément
le prétendu décuplement des capacités intellectuelles
apportées par les séances d'audition).
Son père n'envisageait même pas de l'inscrire dans une université
pour lui apprendre un métier.
Visite d'une crèche de la Cadet Org de Los
Angeles, par Margery Wakefield, frappée de stupeur quand elle
aperçoit le local et l'équipement de ce qui fait office de
crèche : une hygiène plus qu'approximative, des pièces
à peine meublées, des relents d'urine, pas de jouets, pas
de livres, des enfants dont personne ne s'occupe pas... Pourquoi ? Demande-t-elle
à la pseudo-puéricultrice fortement imbibée de doctrine
hubbardienne, qui lui répond froidement : "Nous ne récompensons
pas les basses statistiques. C'est la tech" (...) "Les enfants font
partie de la 2ème dynamique ; la 2ème dynamique est moins
importante que la 3ème".
Déclaration
sous serment de Yolanda Howell. Mère divorcée, elle a accepté
de rejoindre la Sea Org de Los Angeles en échange de promesses de monts
et merveilles dans "une des organisations les plus éthiques de la
planète" : un bel appartement, une école dans une "crèche
vraiment splendide" pour ses enfants. La réalité a été
toute autre : un appartement exigü, des enfants qu'elle ne pouvaient
pas voir avant la fin de journée de travail (vers 22 heures) et qui
ont été emmenés dans la Cadet Org, où l'on
oubliait parfois de les nourrir. Quand elle a quitté la secte, son
ex-mari (scientologue) avait offert à ses parents de garder ses enfants.
Depuis, elle ne les voit plus que rarement, alors qu'elle avait légalement
obtenu le droit de garde. Les scientologues ne lui accordent un droit de visite
que moyennant le versement d'une somme de 1.600 dollars pour paiement de "dettes
de déserteur de la Sea Org".
"Enseignement créatif" dans une école
primaire, d'après Paulette Cooper. Sur les recommandations d'un
ami scientologue, une institutrice expérimente sur ses élèves
des leçons d'un livre intitulé "Enseignement Créatif
: Une Expérience Scientologue dans les Écoles" : exercices
répétitifs, remémorisation d'événements
vécus, et "Leçons de mort"... Quand des parents ont
découverts ces étranges pratiques, le scandale a éclaté.
Cette affaire, fort heureusement isolée, s'est produite dans une
école anglaise en 1960.
Les enfants de Tchernobyl :
Les enfants
irradiés de Tchernobyl servent de cobaye à la secte. D'après
Ron Hubbard, la "procédure de purification"
permet de "faire sortir les radiations accumulées dans le corps".
C'est sur la base de cette théorie que la secte a proposé au
Ministère de la santé russe d'expérimenter
sur des enfants mineurs un traitement comprenant cinq heures de sauna
par jour. Résultats : les enfants ont attrapé des furoncles
en fin de procédure. Cela n'a pas empêché les scientologues
de pavoiser. Par la suite, en juin 1996, le nouveau ministre russe de la Santé,
a annulé l'agrément donné
précipitamment en 1994 à ce genre de cure.
RPF, sorte de goulag scientologue
Le RPF, que l'on peut traduire en français par "Projet de Réhabilitation
par la Force", est un système de traitement humiliant mis au
point par Ron Hubbard dès 1974, et destiné à réformer
les idées "subversives" des adeptes. Actuellement, il existe au
moins 4 centres de RPF :
Flag (la "Mecque de la Scientologie") à Clearwater en Floride ;
PAC (abréviation de pacifique) Los Angeles, Californie ;
"Happy Valley" Hemet, Californie ;
Copenhague, Danemark.
Le "RPFer" est traité comme une sorte de sous-homme. Il doit trimer
7 jours sur 7, à raison de 10 heures de travail subalterne par jour
plus 5 heures d'endoctrinement en vue de sa rédemption. Interdiction
de marcher (il doit toujours se déplacer au pas de course), de parler
à quiconque sans autorisation, de contester un ordre quel qu'il
soit. Le RPFer doit se contenter de la moitié ou du tiers de sa
paye (soit une "rémunération" réduite à 5 ou
6 dollars la semaine...), il lui est accordé 30 minutes de pause
par jour pour se nourrir des restes des repas des autres, et 30 secondes
de douche quotidienne. Il est obligé de porter des vieilles salopettes
de travail sales qui le font ressembler à un clochard, et peu importe
s'il doit travailler vêtu ainsi par temps de canicule !
Un tel régime peut durer plusieurs années. Le RPFer
ne peut espérer en sortir que s'il satisfait aux objectifs de ses
tortionnaires, à savoir être réduit à l'état
de robot parfaitement obéissant. Il devra alors attester qu'il a
vécu cette expérience de son plein gré, et à
quel point c'était "merveilleux"...
Pour avoir droit à une cure de RPF, rien de plus simple : il suffit
au choix d'être soupçonné de douter des préceptes
de Ron Hubbard, de commettre une faute professionnelle, d'avoir une progression
jugée insuffisante dans son entraînement d'auditeur, ou de ne pas
respecter les objectifs de productivité dans les délais imposés.
Les faits présentés ci-dessus vous paraissent invraisemblables
? Pourtant les témoignages et déclarations sous serment d'ex-scientologues
ne manquent pas :
Le
RPF par Monica Pignotti, qui fut l'une des premières à
goûter aux délices de ce traitement, à bord du navire
Apollo commandé à l'époque par Ron Hubbard.
Anne Rosenblum présente un panorama assez complet du RPF :
Les goulag du gourou, par Néfertiti.
Pour une secte qui prétend conduire l'homme sur "le chemin de la liberté
totale", les conditions de vie imposées aux adeptes récalcitrants
sont effroyables : détention, humiliations, menaces, surveillance permanente,
interrogatoires interminables ("sec-cheks"), esclavage. A la torture psychique
s'ajoutent les mauvais traitements physiques : privation de sommeil, privation
des soins élémentaires, conditions de travail dangereuses. Sa
seule chance d'en sortir : l'évasion.
Le RPF, récit du témoignage
d'Anna Whitfield, y comprise de sa propre assignation.
Des parkings souterrains du luxueux hôtel Fort Harrisson était
partagés avec d'autres compagnons d'infortune pour servir de "chambre
à coucher". Comment les autorités locales de Clearwater pouvaient-elles
laisser faire ? Pour prévenir toute visite des inspecteurs municipaux,
les RPFer devaient s'entraîner à transformer dans les plus
brefs délais leur "chambre à coucher" en quelque chose qui
ressemble à un entrepôt de matériel.
Un adepte peut-il tomber plus bas que dans le RPF ? Oui, dans le RPF du
RPF :
Le RPF du RPF est une sorte de mitard scientologue conçu pour mieux
briser les membres récalcitrants, et les réduires à
l'état de parfaits Rondroïdes. Sont admissibles au RPF du RPF
les RPFers qui ont osé enfreindre une des règles
du RPF. Pendant toute la durée de cet internement qui peut durer
plusieurs semaines, les détenus sont privés de toute hygiène
élémentaire, et n'aperçoivent que rarement voire jamais
la lumière du jour.
Pire que le RPF : le RPF du RPF, par Hana
Whitfield. Elle n'a pas eu droit à ce traitement, mais révèle
que chez Flag à Clearwater, c'est la bruyante salle des chaudières
du sous-sol de l'hôtel Fort Harrisson qui sert de mitard.
Information confirmée par Annie Rosenblum qui décrit l'enfer
des enfers.
Néfertiti a obtenu le privilège
de ne rester qu'un seul jour dans un des recoins les plus reculés de
ce même hôtel. Elle s'est retrouvée en compagnie d'une
adepte enchaînée aux pieds, qui exécutait une tâche
consistant à écoper de l'eau.
A bord du navire Apollo, Monica Pignotti a séjourné dans
la salle des machines pour enlever la boue nauséabonde des fonds de
cale et repeindre les parois.
Le pire est dans ce qui précède ? Non ! Découvrez
le "Running Program" :
C'est la pire forme de sévice physique infligée à
certains adeptes. Le traitement consiste à tourner pendant 8 à
12 heures par jour autour d'un arbre ou d'un poteau, jusqu'à ce
que la personne devienne un parfait robot.
Programme
de course, raconté par Ariane Jackson. A noter la révélation
d'une théorie inepte selon laquelle "les corps sont destinés
à durer des centaines d'années et qu'ils durent effectivement
très longtemps sur des planètes riches en minéraux
[comme
si la planète Terre n'était pas elle-même riche en
minéraux !, ndr]". D'où les méga-doses de minéraux
que devaient ingérer les "patients".
Extrait de la déclaration sous serment
de Andre Tabayoyon. L'auteur témoigne des sévices physiques
subis par Vicky Aznaran, incarcérée au centre de "Happy Valley".
Son crime ? Avoir été évincée par David Miscavige,
actuel numéro 1 de la Scientologie.
Extrait de la déclaration sous serment de David
Mayo. Ancien dirigeant scientologue, David avait décidé
de se mettre à son propre compte en fondant à Santa Barbara
un groupe dissident appelé "Centre de Capacité Avancée",
et délivrer des ensignements "secrets". Pour un cours de "niveau
supérieur", David Mayo se contentait d'un prix de vente de 1.500
dollars, alors ce même cours était délivré à
15.000 dollars dans le QG scientologue de Clearwater. En 1982, il a été
enlevé par David Miscavige et a eu droit au "Running Program" pendant
6 mois.
Affaire Lisa Mc Pherson
Morte de négligence à Flag, où elle était "bien
soignée"...
A l'âge de 36 ans, Lisa Mc Pherson était scientologue depuis
18 ans. Le 5 décembre 1995, elle est transférée depuis
l'hôtel Fort Harrisson (la "Mecque de la Scientologie", située
à Clearwater en Floride) vers le nouvel hôpital de Port Richey,
situé à 40 km de l'hôtel. Mais elle est décédée
avant d'y parvenir. Le rapport
d'autopsie, rédigé par le docteur Joan E. Wood, révèle
qu'elle est morte d'une thrombose coronarienne due à une sévère
déshydratation et un repos alité. Le corps présente
également des traces de coups et d'abrasions, ainsi que des blessures
aux mains dues à des morsures d'insecte (cafards, blattes).
Son poids est de 49 kg pour une taille de 1,75 m.
17 jours auparavant, le 18 novembre, Lisa Mc Pherson est impliquée
dans un léger accident de la circulation. N'étant pas blessée,
elle sort de son véhicule et se déshabille. Du fait de son
comportement étrange, elle est emmenée en ambulance à
l'hôpital Morton Plant, où les médecins la placent
en observation psychiatrique. Les scientologues réussissent pourtant
à persuader Lisa de revenir avec eux, et l'hôpital la libère,
après qu'elle ait signé une décharge. Lisa Mc Pherson
est physiquement en bonne santé en quittant l'hôpital de Morton
Plant, disent les rapports. Elle pèse alors 70 kg. Les scientologues
promettent de s'occuper d'elle et de la garder en observation 24 h sur
24.
Que lui est-il arrivée entre ces deux dates ? La famille de Lisa
Mc Pherson a déposé plainte contre la secte. Une enquête
sur les circonstances de sa mort est actuellement en cours par les autorités
locales. L'interprétation des faits diffère selon les parties
:
Les officiels de la Scientologie, déclarent qu'elle était
hébergée à l'hôtel Fort Harrison et qu'on s'occupait
bien d'elle, qu'elle était isolée dans une des chambres d'invités.
Un avocat de la secte déclare qu'elle est tombée brusquement
malade, et que ce n'est qu'au cours des dernières 24 heures qu'il
y avait des raisons de s'inquiéter. Les scientologues affirment
que qu'ils ont bien pris soin d'elle, et qu'elle a eu à boire et
à manger durant son séjour chez eux. Ils ajoutent que le
rapport d'autopsie est un tissu de mensonges, que Mc Pherson a été
victime
d'une infection foudroyante due à une staphylococcie pulmonaire,
qu'elle était consciente le jour de sa mort, et qu'elle est décédée
durant son transfert vers l'hôpital. D'après eux, l'enquête
policière fait suite à une longue campagne de harcèlement
et de haine bigote contre eux, et que que les médias font leur beurre
de la tragédie du décès de cette femme.
Ces déclarations laissent les médecins ayant pratiqué
l'autopsie et les opposants à la Scientologie très sceptiques.
Comment a t-elle pu perdre une vingtaine de kilos en si peu de temps ?
Comment a t-elle pu se laisser mordre par des cafards, qui plus est dans
une des chambres d'invités de l'hôtel 4 étoiles de
Fort Harisson ? Pourquoi les scientologues ont-ils choisi de la transférer
dans un hôpital aussi éloigné alors que son état
était alarmant ?
Suite de l'affaire :
Début mars 1997, une veillée
de protestation a été organisée par une trentaine
d'opposants en mémoire à la mort Lisa Mc Pherson, autour
de l'Hôtel Fort Harrisson. Les scientologues ont organisé
le même jour une journée
anti-drogues prévue de longue date selon eux, avec concours
d'affiches, de danse, de boy scouts, un feu de camp, un concours de talents
et un concours d'animaux de compagnie...
Début juillet 1997, des détails
sur les 17 derniers jours de Lisa Mc Pherson émergent depuis
peu de divers dossiers du tribunal rendus récemment publics. Elle
serait devenue psychotique, elle avait souvent besoin d'aide pour se laver,
s'habiller, s'entretenir ; et refusait de se nourrir. Elle se serait même
souillée et aurait dû "quelquefois" être maintenue par
ses collègues afin d'entraver sa violence. Les scientologues ont
essayé par ailleurs de lui administrer des vitamines, des minéraux
et des remèdes à base de plante. Cependant, le docteur Wood
et la famille Mc Pherson affirment que l'état du corps de Mc Pherson
indiquait une lente agonie qui aurait dû entraîner le recours
à des soins médicaux bien plus tôt que le personnel
de la secte ne s'y sont décidés. Mais selon un autre médecin
légiste, le Dr Robert D. Davis, les chiffres annoncés dans
le rapport d'autopsie sont tellement anormaux qu'il se demande s'ils sont
justes, que les marques rouges auraient aussi bien pu être des traces
d'abrasions que de morsures de cafards. Voilà un avis que la secte
ne manquera pas de tirer profit pour sa défense.
Pour
Roger Gonnet (voir colonne de gauche), ex-scientologue, elle aurait fait
l'objet d'un "maniement des psychotiques" et les scientologues ont
essayé de lui appliquer le "rundown d'introspection". Mais elle
ne l'entendait pas ainsi ; elle croyait alors que les scientologues seraient
forcés de la relâcher si elle ne s'alimentait pas, et qu'elle
ne buvait rien. Seulement voilà, la Scientologie était déjà
allée beaucoup trop loin, il y allait de la sécurité
de cet édifice sectaire. La secte ne tenait pas à la laisser
sortir tant qu'elle n'aurait pas réussi à réformer ses
idées anti-scientologues. Voir la page Index
du mémorial de Lisa Mc Pherson.