(Source : AVCS ,45 Warre, 6941 Durbuy. Belgique - Tél.: 086-21.41.85. Fax: 086-21.10.85. e mail : avcs@belcast.com)
Jean Marie BASTIN
Clerc de Notaire
B 6941 DURBUY
BELGIQUE
DURBUY, le 28 août 2001
En tant que Président et co-fondateur notamment avec mon épouse de l'asbl " AIDE AUX VICTIMES DE COMPORTEMENTS SECTAIRES " " A.V.C.S. ", en Belgique, je me permets de venir à vous pour apporter certains éclaircissements dans le cadre de la manipulation mentale dont les sectes sont très friandes.
Sortir d'une secte n'est guère facile.
Lorsque nous avons pris la décision de nous retirer de l'organisation internationale sectaire des Témoins de Jéhovah à laquelle nous appartenions depuis 25 ans, nous ne nous sommes pas imaginés les difficultés que nous allions rencontrer.
Déstabilisés par le rejet de ceux que nous croyions nos amis, nous avons dû réapprendre à vivre, retrouver une vie normale.
Retrouver son autonomie, accepter avoir été victime est une bataille de chaque instant pour un ex-adepte.
Celui ci doit être aidé à passer le sas de la décompression - au besoin dirigé vers un psychologue, un juriste - à apprendre ou réapprendre à vivre sans la secte, en société, à reconstruire une stabilité, comprendre ce qui s'est passé, recevoir réconfort en comparant les difficultés, les expériences et les solutions.
Nous mêmes, nous avons " laissé " une de nos filles dans cette organisation.
Le respect de notre décision de nous en retirer, ne pourrait toutefois être considéré comme effectif tant qu'existeraient directement ou indirectement de la part de cette organisation des sanctions ou manipulations, violant par ailleurs la Convention des Droits de l'Homme .
Et c'est malheureusement ainsi que, suivant les lois de cette organisation sectaire, notre fille a sur-le-champ cessé d'avoir le moindre contact avec nous ; cette attitude de rejet et d'exclusion à notre égard étant conforme aux actuelles règles de cette communauté (qui se voudrait cultuelle) et pouvant même emporter des conséquences pour l'adepte en cas de non-respect de celles-ci. Il est à préciser que si les règles internes n'avaient pas été unilatéralement modifiées par cette organisation, notre fille aurait pu continuer à avoir des contacts avec nous. Nous ne pouvons bien entendu en vouloir à notre chère enfant, la sachant elle même victime d'une " manipulation " !
Notre famille n'est pas la seule à vivre une telle situation dramatique. Des centaines d'ex-adeptes et co-victimes, sont en souffrance. Certains, par exemple, ont vu leurs relations familiales rompues du jour au lendemain à la suite de la séduction opérée sur un des leurs ; ils ont été coupés des leurs.
L'entrée en secte amène le nouvel adepte à s'éloigner de sa famille, et la sortie fait qu'il se retrouve ainsi seul. Il est alors un besoin de pouvoir parler, d'être accueilli par des personnes ouvertes, qui ne le jugeront pas, et qui seront prêtes à faire un bout de chemin avec lui pour l' aider à retrouver son autonomie.
D'autres auront besoin de comprendre ce qui arrive à leur parent, enfant, ami.
Que peuvent ressentir un père ou une mère quand ils voient leur fils ou leur fille se marier et qu'on leur dit, qu'' il vaudrait mieux qu'ils ne viennent pas au mariage, ou quand ils apprennent que leur fille a donné naissance à un enfant et qu'on leur dit qu'ils ne peuvent pas venir voir leur petit-fils ou leur petite-fille ?"
I.-
Dans notre cas personnel, je préciserai que les Témoins de Jéhovah sont passés maîtres dans l'art de la manipulation mentale, et ceci au travers des faits suivants, qui, vous le comprendrez plus loin, n'ont pas manqué de nous " retourner ".C'est peut être aussi à une mère, un père de famille que je m'adresse.
Quelques jours avant le deuxième Colloque organisé en octobre dernier par A.V.C.S., association que nous avons fondée, mon épouse, a été interviewée par une journaliste du " SOIR " important quotidien en Belgique .
Mon épouse lui a bien dit que ce Colloque désirait éviter le sensationnalisme et lui a rappelé la règle d'or qu'aucun nom de sectes n'y serait cité. Elle l'a priée de respecter cette règle, ce qui lui fut promis.
Toutefois, la veille du Colloque, " le SOIR ", contre toute attente, a réservé un article de grande sensation. La journaliste avait même pressenti les Témoins de Jéhovah de venir au Colloque. Par ailleurs, elle a jeté un " pavé dans la mare " en citant - de la part de mon épouse - que les deux enfants que nous avons perdus il y a 22 ans dans un accident de voiture étaient décédés faute d'avoir été transfusés.
Tout ceci était de la pure invention. Le stagiaire qui accompagnait mon épouse à l'interview en a été témoin.
Quelques jours plus tard (26 octobre 2000), un rectificatif a été demandé à la journaliste en question (Madame Michelle LAMENSCH), mais aucune suite n'y a été donnée.
Voici un extrait de ce rectificatif :
" 2) Aujourd'hui il y a exactement 22 ans de la mort de mes petites filles. L'article mentionne qu'elles sont mortes des suites du manque de transfusion, ce qui est faux puisque leur décès a été officiellement constaté je pense peu après leur arrivée à l'hôpital. Je tiens à le souligner car relatés ainsi les faits pourraient être interprétés comme diffamatoires par l'organisation sectaire à laquelle j'ai appartenu et ils seraient bien capables de vous attaquer en justice pour cela ainsi que moi même. Je vous demanderai donc de faire sans tarder un errata dans une de vos toutes prochaines éditions. Vous voudrez bien me faire tenir une copie de votre article rectificatif et m'informer de l'édition dans laquelle il paraîtra . "
Quelle horreur lorsque, fin de l'année dernière (début décembre 2000), une lettre adressée par un haut représentant de l'organisation des Témoins de Jéhovah de Belgique est arrivée à l'adresse de mon épouse. Elle rentrait de Paris où elle avait témoigné pour l'émission de Mr Julien COURBET " Sans aucun doute ".
Vous en trouverez copie intégrale ci après:
"
5 décembre 2000 - A CAUSE D' UN MENSONGE TROP LOIN de madame Bastin-SaenenDans le journal " LE SOIR ", édition du 20 octobre 2000, vous avez accepté de prononcer certains mensonges flagrants. C'est devenu votre habitude de mentir et je ne compte pas les rectifier à chaque fois. Votre attitude sectaire ne mérite pas une prise de temps excessive.
Cela dit, c'est parce que vous avez été un mensonge trop loin que je me trouve dans l'obligation de ramener à votre mémoire des faits pénibles d'un passé éloigné de 22 ans.
Vous avez déclaré avoir refusé des transfusions sanguines pour deux de vos enfants, deux bébés : Gabrielle, âgée à peine d'un an et Jaël âgée de moins de deux mois. Ces deux bébés seraient maintenant des belles jeunes filles de plus de 20 ans. Elles ne demandaient effectivement qu'à vivre.
Les circonstances réelles de l'accident étaient mentionnées dans le journal La Meuse des 28-29 octobre 1978. Vous trouverez ci-joint une photocopie de l'article.
J'ai interviewé des personnes qui vous ont assisté psychologiquement à l'hôpital et les jours après. J'ai pu les retrouver suite à une enquête honnête et minutieuse. Toutes me déclarent qu'il n'a jamais été question de transfusions sanguine lors de votre étrange accident, les bébés étant très malheureusement décédés sur les lieux de l'accident. L'état dans lequel vous vous trouviez juste après l'accident et à l'hôpital, n'aurait d'ailleurs pas permis un dialogue valable de votre part. Plusieurs témoins de l'époque m'ont signalé clairement que vous n'aviez pas manqué alors de vous culpabiliser pour cet accident. Il faut en effet se souvenir que c'est vous qui étiez au volant, vous aviez à côté de vous votre maman. Vous vous souvenez du dialogue que vous aviez juste avant l'accident, sans implication d'un autre véhicule.
A l'avenir vous devrez retirer de votre liste des mensonges, celui qui concerne l'accident.
Aucun chrétien de votre entourage à l'époque n'a causé cet accident. Par contre tous ont eu la bonté de vous consoler. Vous pourriez au moins vous en montrer reconnaissant. Vos amies de l'époque ont été tristes qu'un accident étrange ait enlevé la vie de deux bébés qui ne demandaient qu'à vivre et qui avaient de belles années devant elles. Vous auriez maintenant deux belles jeunes filles à vos côtés. Je regrette de devoir ramener à votre mémoire des événements très pénibles pour vous et pour ceux qui vous ont soutenus alors. C'est évidemment vous qui avez remis en mémoire ces événements tragiques, obligeant certains à se trouver dans l'obligation de rétablir la vérité. A l'époque, vous aviez su vous montrer reconnaissante pour l'aide dévouée qui vous avait été apportée. Voyez la copie de vos remerciements d'alors.
Vous avez mentionné via certains médias, que vous êtes occupée à travailler sur un livre qui pourrait avoir pour titre : 'Ma fille est prisonnière d'une secte'. Il est évident qu'après avoir constaté les mensonges qui y seront mentionnés - je le sais déjà - et le manque de gratitude pour tout ce que des personnes, bien intentionnées ont fait pour vous, lors de vos déménagements répétés, etc., je pourrai aussi prendre la liberté de travailler sur un livre qui pourra avoir pour titre, vrai celui-là " Sa mère a donné naissance à une secte : Secte qui n'aura pas longue vie ".
Jusqu'à présent vous avez profité de l'esprit paisible des victimes de vos diffamations. Je pense toutefois que le temps est venu pour vous de devenir raisonnable, en évitant des agissements franchement méchants et sectaires. Votre haine des gens honnêtes, qui ont tant fait pour vous, même si vous l'avez semble-t-il oublié, finira par vous amener à un état figé. Soyez assuré que ce courrier est fait pour vous aider à ne plus aller trop loin dans l'avenir.
C'est un homme honnête qui vous écrit. Le mensonge et la diffamation ne m'effrayent pas. Ils me dégoûtent.
Comprenez que ce texte est écrit avec le droit qu'ont les victimes de la diffamation de se protéger et de se défendre.
Aloys Belflamme - Allée des Mésanges 1 Bte 12 - 1400 Nivelles (signature).Le procédé consistant à raviver notre douleur en nous communiquant une photographie de ce terrible accident ne saurait être qualifié.
La relation journalistique sur laquelle s'est fondé ce "chef" chez les Témoins de Jéhovah de Belgique et plus sottement l'enquête qu'il dit avoir fait réaliser sont dépourvues de la moindre pertinence et ne peuvent en aucun cas amoindrir la seule vérité qui puisse et mérite d'être considérée : la vérité judiciaire. La Justice a décidé à l'époque que l'accident en cause devait faire l'objet d'un classement sans suite, écartant de ce fait toute question de responsabilité dans le chef de mon épouse.
Ci après, néanmoins des commentaires que mon épouse a voulu établir à cette lettre à caractère plus que manipulatoire :
Il me tient fort à cur d'apporter quelques éclaircissements concernant la " lettre " de Monsieur Aloïs BELFLAMME, celle-ci étant très déstabilisante. Mon médecin traitant ayant analysé celle-ci avec moi m'a conscientisé du pourquoi de mon état -je me retrouvais par les mots, les tournures de phrases, la forme à nouveau sous emprise). Actuellement je pense pouvoir reconnaître le but " inavoué " de son auteur de me faire taire quant aux révélations de mon vécu de 23 ans au sein de la Watch Tower (organisation mère des Témoins de Jéhovah!).
Qu'il soit connu de tous, même en mettant ma vie à nu, est aujourd'hui une mission afin d'aider tous ceux qui souffrent soit parce qu'ils sont prisonniers " volontaires " dans de telles organisations sectaires, soit parce qu'un de leurs proches s'y enferme soit parce qu'à cause de leurs règles, des familles se voient séparées des enfants, également en matière de prévention afin que cette prison de l'esprit s'éloigne de toute personne quelque peu déstabilisée par les remous de la vie. Il faudrait me couper la langue pour me faire taire et encore je pense que je trouverais un moyen de faire entendre malgré cela ! En effet je suis occupée à la rédaction d'un livre qui aura le nom de " la chrysalide " car aujourd'hui je suis éprise de liberté comme un papillon.
Abordons maintenant les commentaires :
§1 Voir lettre rectificative à la journaliste du SOIR .
§3 Le jour de l'accident le 27/10/78 j'ai eu une commotion cérébrale avec amnésie et lorsque j'ai repris conscience aux urgences j'atteste avoir dit au médecin de garde ce jour là : " Docteur pas de sang pour mes enfants ". En colère il a fait valser les tentures vertes et a crié au staff de service : " Vous avez entendu ? encore une ! "
J'étais tellement attachée aux instructions de la W.T. qu'il n'y avait pas besoin de grands discours. Aujourd'hui je le regrette. A ce moment je suis retournée dans l'inconscient. Ce n'est que le soir, je pense vers 19/20 heures qu'au travers des yeux baissés de mon mari que j'ai compris que les petites n'étaient plus. Un non dit sur le conseil du médecin qui craignait pour mon équilibre psychologique§5 -A. Assister psychologiquement : disons que comme chaque fois ils étaient pleins d'amour en m'entourant - cela s'appelle débordement d'amour - je n'en disconviens pas mais il n'y a pas besoin d'être T.J. pour cela ! Quant à l'assistance psychologique, je n'ai jamais pu faire mon deuil puisqu'ils m'affirmaient que mes enfants dormaient et que " probablement " je les retrouverais dans le " monde meilleur après Harmaguédon ". L'hiver 79 fut terrible et il m'arrivait de penser que mes petites avaient froid au cimetière ! Lorsque j'ai fait ma deuxième dépression nerveuse et que j'ai été hospitalisée à l'UCL MONT GODINNE, c'est la première fois que j'ai pleuré dans les bras de mon psy. Je ne pouvais pas aller sur la tombe sauf pour voir si elle était propre ; c'est d'ailleurs mon cher mari qui le faisait . Ce n'est que 20 ans plus tard alors que je quittais la W.T. que je suis allée porter des fleurs : 20 roses pour Gabrielle et 19 pour Jaël en compagnie de ma fille Aurore née après l'accident.
Toutes ces années je me suis laissée frustrer, je me suis soumise, j'ai marché, dans le seul but de pouvoir revivre avec mes petites dans " ce monde merveilleux où il n'y aurait plus ni deuil ne cri ni douleur " Encore fallait-il être digne d'y entrer, alors j'obéissais en toutes circonstances, et malgré tout j'étais une insoumise aux yeux des " anciens ".
Pourquoi ? Quelques jours après l'enterrement un "ancien "(Mr E. S ) était venu nous visiter et m'avait dit que maintenant je devais tout faire pour rester dans la " ville de refuge " la W.T. moderne. Une ville de refuge dans l'ancien testament était une ville où les assassins involontaires pouvaient se réfugier avant que le vengeur de sang ne les rattrape; ils y restaient jusqu'à ce que le jubilé arrive, alors ils pouvaient sortir libres ! . Ce jour là c'est comme si la terre s'ouvrait sous mes pieds, je me vois encore courir dans la neige avec mon chien, dans la nuit, je hurlais j'avais assassiné mes enfants ! Magnifique encadrement psychologique ! ! !
§5 B. Faire une enquête et de quel droit ? La famille (G. T ) qui avait recueilli Vinciane alors que nous étions à l'hôpital, ne lui avait rien dit de l'absence de sa maman et de la situation. Notre fille avait 5 ans, elle était difficile. Logique. Où était maman, papa et les petites surs ? Ils l'on réprimandée en lui disant qu'ils allaient la mettre dans la cave et que la licorne viendrait la manger ! Ceux qui étaient présents à ce moment là (famille F ) sont ceux qui ont fourni à Monsieur BELFLAMME la photocopie de l'article (22 ans plus tard) ainsi que les remerciements qu'il a si gentiment joints à sa missive; ces gens ne sont pas intervenus pour ramener G.T .à la raison et se moquaient de Vinciane. 10 ans plus tard quand ce Monsieur G.T , est venu nous rendre visite avenue Blonden à LIEGE. Vinciane n'a pas prétendu le saluer, elle n'avait pas oublié, c'est d'elle que je connais ces tristes moments. Bel encadrement psychologique pour une petite de 5 ans déstabilisée ! Lorsque les F sont arrivés dans la nouvelle congrégation de DURBUY que nous fréquentions, Vinciane m'a fait ce commentaire : " cela ne va pas aller tout seul, il y aura des problèmes ! "
Tirez les conclusions d'une enquête honnête et minutieuse près de ces gens.
D'autres sont encore allés plus loin, ils faisaient courir le bruit que je l'avais fait exprès. Les "anciens" MM E et B de la congrégation de SPA sont venus chez nous et m'ont demandé des comptes. Nous leur avons dit que nous allions porter plainte pour diffamation. Comme ils ont peur des tribunaux, ils ont prié les F de présenter leurs excuses. Vous pouvez constater que la rumeur court toujours.
§5 F. Le dialogue avec ma maman. Ce jour là était un vendredi, j'avais fait mon ménage, à fond, il fallait être irréprochable si quelqu'un venait nous visiter à l'improviste pour ne pas jeter l'opprobre sur le nom de Jéhovah. Je m'étais occupée de mes deux bébés l'une de 10 mois plus âgée que l'autre, Gabrielle prenait la soupe et Jaël le biberon ; l'une avait réveillé l'autre et tout cela faisait que j'avais pris du retard. Quand je suis arrivée pour conduire maman faire ses courses, j'ai malheureusement pris un premier sermon. Nous sommes montées à Boncelles, j'ai laissé maman au DELHAIZE et me suis rendue au GARDEN CENTER acheter pour ma belle sur où nous nous rendions dans la soirée, des mûriers et des framboisiers à repiquer. Je suis revenue attendre maman et j'ai donné un biberon à Jaël et replacé Gabrielle dans son petit siège. Maman est revenue à la voiture. Comme nous allions à Spa et qu'en tant qu'ancienne ouvrière de SPA MONOPOLE, elle avait droit à des réductions sur les eaux et les limonades j'avais déjà chargé les vidanges : 3 casiers si j'ai bonne mémoire, tant et si bien qu'il n'y avait plus beaucoup de place pour les commissions. J'ai pris un deuxième sermon. Nous avons redémarré en discutant sur son manque de compréhension. Il me semble me souvenir qu'il y avait des travaux routiers qui d'ailleurs ont été rebouchés pendant la nuit. Après je ne me souviens plus. Ce que je sais ce sont les gendarmes qui me l'on dit lors de leur dernière visite. Je voulais savoir, sans détail, ce qui s'était passé. Ils m'ont montré le plan de l'expert. Au début je roulais à 40km/h. et j'ai percuté l'arbre à 80km/h. si j'ai bonne mémoire. Avais-je dérapé, avais-je perçu une ornière qui m'aurait dirigé vers le bois sur la droite ? en tout cas j'ai contre braqué, traversé la chaussée, et percuté l'arbre qui sous le choc s'est cassé la voiture s'est retrouvée sur le toit, C'est un cibiste qui nous suivait qui a appelé le 900. Voilà ce que je sais grâce aux gendarmes
Au sujet des travaux, T , prénommé qui était agent d'assurances a dit à mon mari qu'il y avait une tranchée non signalée et de la terre glissante. Le lendemain il a dit à mon mari que tout avait été rebouché dans la soirée.
Encore une remarque. Est ce chrétien que d'agir comme le fait Belflamme ? Il n'est guère digne de porter la " qualification " de "berger " que lui a octroyé la WT !
En tout cas il n'est guère dans la ligne de conduite du Grand Enseignant Jésus Christ !
Nous avons la fierté d'affirmer sans que le représentant de cette organisation puisse en faire autant que nous n'avons jamais dissimulé ou travesti la vérité au travers de nos propos et que nous n'entendons pas le faire, tandis que nos démarches d'aides aux victimes ne sont certes pas des actes de discrédit mais bien d'aide à prendre conscience des dangers des comportements sectaires et de manipulation.
Comment qualifier autrement l'obligation faite aux membres de cette organisation de fuir tout contact avec quelqu'un qui n'en fait plus partie au motif qu'il n'en partage plus les idées, cette liberté de s'en retirer étant par ailleurs consacrée par la Convention des Droits de l'Homme.
Si cette organisation ne prétend cultuelle, religieuse et veut se faire reconnaître comme telle, c'est dans le but inavoué d'échapper à diverses taxations réservées aux organisations religieuses et d'échapper aux poursuites dirigées à l'encontre de sectes.Vous conclurez qu'ils essaient de nous faire taire, mais c'est en vain !
Comme Madame Charline DELPORTE, Présidente de l'ADFI - LILLE l'a si bien dit, plus les sectes iront devant les tribunaux, plus elles se discréditeront, surtout si elles formulent des menaces comme celles un jour proférées par un des avocats des Témoins de Jéhovah : " Trop c'est trop, il faut faire taire cette femme. Et il n'y a que la sanction financière qui la fera taire ".
Pour preuve, extrait de la réponse de ce "Haut représentant" de cette organisation à qui notre Avocat avait en son temps adressé nos justifications et en avait rappelé le contenu cette année, sa première lettre étant restée sans suite (soi dit en passant il en a été de même suite à l'envoi de la copie de sa réponse à la Direction des Témoins de Jéhovah à Bruxelles !) :" 2 juillet 2001
Monsieur V ,
J'ai devant moi votre lettre étonnante du 28 juin 2001. Après réflexion je me demande encore quel est le mobile réel de cette lettre. S'il est exact que je n'ai pas réagi à votre lettre ce n'est pas parce qu'elle aurait été impressionnante, mais parce que je l'ai retrouvée des semaines plus tard dans mes vieux papiers.
Comment votre courrier s'est il retrouvé là ? Pour la simple raison que celui-ci m'a été envoyé sans adresse d'expéditeur, en même temps que plusieurs lettres de même taille qui concernaient des publicités pour différentes marques de voitures.
Ce n'est qu'il y a quelque temps, en préparant les cartons à apporter au parc à conteneurs, que j'ai poussé la curiosité pour ces enveloppes réclames. Après lecture j'ai trouvé approprié de ne pas réagir à un courrier qui contenait plusieurs arguments erronés.
J'ai de toute façon constaté que l'objet de mon courrier, qui avait motivé votre lettre, a atteint son but. Depuis lors madame Bastin a eu la sagesse de ne plus répéter le mensonge qui concerne le décès malheureux de ses deux enfants. L'objectif étant atteint, je n'ai pas trouvé utile de vous écrire quand même, pour faire mention des erreurs de jugement et de déductions de votre courrier de l' époque.
Vous pouvez dès lors remplacer le mot 'objection' par 'réaction'. Votre déduction mentionnée au paragraphe deux relève du simple pronostic, elle n'est dès lors pas acceptable.
Je fais parvenir une copie de ce courrier à Monsieur et Madame Bastin, vous évitant dès lors ce travail.
Pour moi cette affaire est close. Ma réaction de l'époque se justifiait du fait d'une information mensongère qui avait pu atteindre un large public non informé. Les hommes honnêtes ont le droit de défendre leur honneur, Vous serez certainement d'accord avec moi à ce sujet, Monsieur V
C'est un homme honnête qui vous répond et j'ose espérer que votre expérience saura apprécier ce fait.
Avec honnêteté et sincérité.
(signature) "
Voici ce que notre Avocat écrivait notamment dans sa première missive :" Monsieur,
Je suis le conseil de Monsieur et Madame BASTIN, qui m'ont soumis copie de la correspondance datée du 5 décembre que vous leur avez adressée.
La simple accumulation d'affirmations délibérément inexactes et calomnieuses à laquelle serait dû votre courrier n'aurait sans doute mérité que le mépris de mes mandants si la malveillance inadmissible et punissable qui transparaît de vos propos ne méritait la mise au point qu'ils m'ont invité à vous notifier.
Ainsi la relation journalistique sur laquelle vous vous fondez et plus sottement l'enquête que vous dites avoir fait réaliser sont dépourvues de la moindre pertinence et ne peuvent en aucun cas amoindrir la seule vérité qui puisse et mérite d'être considérée : la vérité judiciaire.
A cet égard, il a été définitivement considéré par le parquet de Madame le Procureur du Roi que l'accident en cause devait faire l'objet d'un classement sans suite, écartant de ce fait toute question de responsabilité dans le chef de Madame BASTIN.
Au demeurant, le procédé consistant à raviver la douleur de Monsieur et Madame BASTIN en leur communiquant un dessin et des photographies de ce terrible accident ne saurait être qualifié.
D'autre part, la volonté de nuire manifestée par vos propos ne peut suffire à dissimuler l'absence de réponse que vous êtes amené à apporter - et pour cause - au fait que les membres de votre congrégation sont, indépendamment de leurs qualités humaines et de leurs valeurs morales victimes à leur insu de comportement sectaire se traduisant notamment par l'ignorance qui est la leur de nombreuses attitudes et décisions parfois contradictoires dont le seul objectif est de maintenir à tout prix et quelle qu'en soient les conséquences une unité dont les motivations n'apparaissent pas clairement établies.
Vous lirez en annexe pour votre édification personnelle qui semble manifestement devoir être faite une documentation sérieuse et dépourvue de toute équivoque à ce propos, qui a contribué à convaincre ms mandants du risque personnel et grave couru par leur fille Vinciane et plus généralement les autres membres de votre congrégation au regard notamment des origines et du mode d'organisation de celle-ci.
Mes mandants ont la fierté d'affirmer sans que le puissiez en faire autant qu'ils n'ont jamais dissimulé ou travesti la vérité au travers de leurs propos, tandis que leur démarche qui n'est certes pas de discréditer tous ceux qu'ils ont côtoyés durant plusieurs années mais bien de les aider au contraire à prendre conscience comme cela devrait être votre cas des dangers d'un comportement sectaire qui notamment frappe systématiquement d'exclusion les membres de la congrégation qui font mine de vouloir la quitter et interdisent de ce fait toute forme de contacts familiaux et affectifs.
Comment en effet qualifier autrement l'obligation faite aux membres de votre congrégation de fuir tout contact avec quelqu'un qui n'en fait plus partie au motif qu'il ne partage plus vos idées.
Le fait pour mes mandants de décrire une situation qu'ils ont vécue est non seulement irréprochable mais encore nécessaire dans le respect de notre société démocratique cherchant à préserver la liberté de chacun.
La hargne dont vous estimez devoir faire preuve en vous fondant de surcroît sur des affirmations calomnieuses permet uniquement d'apprécier le niveau des valeurs morales auxquelles vous estimez devoir vous référer et qui de toute évidence n'ont rien à voir avec les préceptes chrétiens.
Puisse la lecture des documents joints à la présente susciter une réflexion profitable de votre part.
Veuillez agréer, M "
Et enfin ce qu'il lui a répondu en dernier lieu à ce jour :" 12 juillet 2001
Monsieur .
Monsieur,
Je reçois et prends connaissance de votre télécopie du 2 juillet.
Mon expérience me permet effectivement d'apprécier la sincérité de vos propos et plus particulièrement l'explication embrouillée que vous me livrez afin de justifier votre absence de réaction à ma correspondance antérieure.
J'ai malheureusement la conviction que l'unique objectif que vous avez poursuivi était, par le biais de propos gratuits à caractère purement calomnieux et diffamatoire, de susciter une souffrance morale inadmissible chez Madame BASTIN.
Les propos contenus dans votre télécopie complétant votre envoi antérieur et constituant ainsi un tout, Monsieur et Madame BASTIN envisagent de notifier citation directe devant le Tribunal Correctionnel afin d'obtenir votre condamnation à telles peines que de droit ainsi qu'à des dommages et intérêts en réparation moral subi et qui bien évidemment sera reversé à l' association A.V.C.S. dont ils sont membres.
La présente vous est adressée sous les plus expresses réserves et sans reconnaissance préjudiciable tant de fait que de droit.
Veuillez agréer, "II.-
Vous lirez aussi ci après un autre cas de manipulation grave dans le cadre de cette même organisation :
Je donnerai tout d'abord, pour la bonne compréhension du texte, la signification de certains mots employés, savoir :
* WATCHTOWER ou société des Témoins de Jéhovah: il s'agit de la société mère des Témoins de Jéhovah à New York, qui manipule ses adeptes en leur faisant croire qu'elle est le canal entre Dieu et des humains. Ils doivent donc obéir aveuglément.
* T. de J. : témoin de Jéhovah.
* Témoin : témoin de Jéhovah.
* Association des Témoins : groupement des Témoins de Jéhovah.
Ceci précisé, je signale que plusieurs journaux ont publié un communiqué annonçant un assouplissement de la doctrine des Témoins de Jéhovah quant aux transfusions sanguines. Ces articles de presse ont laissé entendre que la Société WATCHTOWER ne prononcerait plus aucune sanction envers l'adepte qui accepterait une transfusion.En fait, cette organisation utilise un stratagème extrêmement répréhensible. Elle trompe non seulement ses membres, mais aussi les personnes de l'extérieur.
Auparavant, le Témoin qui acceptait une transfusion avait deux alternatives :
a/ soit " confesser " sa faute devant un comité judiciaire de responsables de la congrégation à laquelle il appartenait. Si son repentir était jugé sincère (il pouvait avoir été victime d'un moment de " faiblesse "), il n'était pas exclu mais réprimandé et " aidé spirituellement ". S'il s'agissait d'un homme qui avait des fonctions de responsabilités dans l' organisation, ces fonctions lui étaient enlevées au sein du groupe, parce qu'il n'offrait plus l'image d'un bon exemple parmi le " troupeau " des fidèles.
b/ soit ne pas se repentir, jugeant par exemple qu'il n'avait rien fait de mal. Dans ce cas, le Témoin était exclu de la communauté, avec toutes les conséquences que cela comporte (rejet total de la part de la congrégation, des membres de la famille T. de J. n'habitant pas sous le même toit , avec d'immanquables frustrations et moments très difficiles à vivre) .
Actuellement, le Témoin qui accepte une transfusion a toujours deux alternatives :
a'/ inchangée.
b'/ soit de ne pas se repentir, jugeant par exemple qu'il n'a rien fait de mal. Dans ce cas, automatiquement, l'adepte ne fait plus partie de la communauté, car par ses agissements, il démontre qu'il n'est plus un Témoin de Jéhovah. Il est considéré comme s'étant retiré volontairement.
Or, cette procédure, aussi appelée " retrait volontaire ", équivaut à l'exclusion, avec les mêmes conséquences que celles citées au point b) précédent .
On voit donc clairement que la Société WATCHTOWER trompe les autorités, les médias, et aussi le corps médical. Elle ment en affirmant qu'il n'y a plus de sanction envers celui qui accepte une transfusion. Pour elle, c'est bien simple, il n'y a plus de sanction puisqu'elle n'exclut plus le coupable !
Voici une traduction libre d'extraits d'une lettre de la WATHTOWER à ce sujet :
" 16 juin 2000,
A tous les Comités de liaison avec les hôpitaux,
Chers Frères,
Un article a été publié dans l'édition du 14 juin 2000 du Times de Londres qui précise que les Témoins de Jéhovah ont modifié leur position quant aux transfusions sanguines. Cet article est incorrect.
Nous publions la déclaration reprise ci-dessous qui reprend clairement notre position sur le sujet. Il n'est nul besoin de distribuer cette information aux médecins, hôpitaux, ou autres. Celle-ci est fournie pour votre information et utilité seulement dans le cas où vous recevriez des demandes de renseignements.
La Bible commande
Si un des Témoins de Jéhovah accepte une transfusion sanguine et puis, après regrette son acte, ceci doit être considéré comme une question sérieuse. Une assistance spirituelle serait offerte pour aider cette personne à retrouver la force spirituelle. Cette position n'a pas changé.
Si un membre baptisé dans la foi accepte volontairement et sans regret une transfusion sanguine, il indique, par ses propres actes qu'il ne souhaite plus être un des Témoins de Jéhovah. L'individu n'est dès lors plus considéré comme un membre de la Congrégation Chrétienne parce qu'il n'accepte plus et ne suit plus la prohibition établie par la Bible de s'abstenir du sang Cette position n'a pas changé "C 'est ce stratagème honteux qu'elle a utilisé en Bulgarie et qu'elle applique à présent sur le plan mondial.
Voici par ailleurs un extrait de l'accord signé entre l'Etat Bulgare et l'Association des Témoins de Bulgarie :
" L'affaire portait sur le refus de réenregistrer l'association requérante en vertu d'une loi de 1994, et sur les mesures visant prétendument à mettre fin à ses activités et celles de ses membres. En règlement de l'affaire, le Gouvernement a accepté de faire adopter dès que possible une législation prévoyant, pour les objecteurs de conscience, un service civil destiné à remplacer le service militaire, et d'enregistrer l'association requérante en tant que religion. La requérante s'est engagée, quant à sa position sur les transfusions sanguines, à intégrer dans ses statuts une déclaration laissant à ses membres le libre choix en la matière s'agissant d'eux mêmes et de leurs enfants, sans aucune contrôle ou sanction de la part de l'association (c'est moi qui souligne). "
Quel parjure : aucun contrôle ou sanction de la part de l'association PUISQU'IL Y A MAINTENANT AUTO-EXCLUSION !
Pour la bonne compréhension de l'état dans lequel une personne considérée comme exclue des témoins de Jéhovah se trouve, il faut savoir ce que représentent les séquelles de l'exclusion. Lorsque, par exemple, dans le domaine footbalistique un joueur est exclu (carte rouge) il ne pourra plus jouer pendant peut être trois ou quatre matchs ; toutefois, il pourra toujours cotoyer ses co-équipiers, son club, ses supporters etc
L'exclusion chez les témoins de Jéhovah est tout autre chose. C'est la coupure totale.
Nous sommes bien placés pour en vivre la triste expérience.
La Société des Témoins de Jéhovah donne l'impression d'adopter une position meilleure de façon à susciter une réflexion nouvelle sur son mouvement (dans quel but inavoué ? -de se faire reconnaître comme association cultuelle ou religion (pour ne pas être poursuivie comme secte!), et sans doute aussi afin de ne pas payer certains impôts, notamment sur les dons et les legs !)
Dans une réflexion de Me Alain GARAY, Avocat des T. de J. en France, on peut lire :
" En décidant que les témoins de Jéhovah de Bulgarie pouvaient bien prétendre au statut public de culte reconnu, le gouvernement bulgare adopte de la sorte une position qui se situe aux antipodes des conclusions très critiquées de la Commission d'enquête parlementaire sur les sectes en France. "
Nous voyons où il veut en venir !
Mais il faut être honnête. Le Gouvernement Bulgare a été " embobiné " dans le cadre de cet accord.
Et maintenant, à la réflexion, je me rends compte que Monsieur BELLEFLAMME a aussi cette intention. En effet, il aurait dû être fier si à l'époque un refus de transfusion sanguine aurait été notifié pour nos deux petite filles (puisque cela était interdit à l'époque!) Mais maintenant, si l'on rend publique l'affirmation que cette organisation interdit le sang, cela ne la sert pas devant ses démarches auprès des autorités pour se faire reconnaître comme association cultuelle, d'où le stratagème précité (l'auto exclusion) .
Il faut sans désemparer informer ce ces stratagèmes.
Je ne juge pas les croyances, mais la dangerosité de la manipulation sectaire.
Pourquoi, en ce qui concerne particulièrement les Témoins de Jéhovah ne pas inviter leur organisation à inclure dans ses statuts une reconsidération de sa part et de ses membres quant à leur position sur l'exclusion, en particulier le retrait volontaire ?En disant comme rappelé plus haut, que sa position n'a pas changé en cas d'acceptation d'une transfusion sanguine par un de ses adeptes l'association des Témoins de Jéhovah ment, car auparavant elle appliquait directement la sanction d'exclusion.
Il suffit de lire une de ses revues, la Tour de Garde, éd. angl. du 15.1.1961, p.63 : " La violation des Ecritures Saintes soumet elle à cet égard le membre baptisé et ordonné qui accepte une transfusion sanguine à l'exclusion de la congrégation chrétienne ? Les Saintes Ecritures inspirées répondent par l'affirmative " et page 64 : " Celui qui accepte une transfusion sanguine doit être retiré du peuple de Dieu par l'excommunication ou l'exclusion "
Enfin, voici quelques autres passages de revues de l'Association des Témoins démontrant sa manipulation, notamment envers les jeunes :Réveillez vous du 22 mai 1994, éd. franç. :
" En rejetant les transfusions sanguines, qui pouvaient en théorie prolonger sa vie présente, Adrian Yeatts a montré qu'il était l'un de ces nombreux jeunes gens qui accordent la priorité à Dieu "
" A 12 ans Lenae a dit qu'elle ne voulait ni sang ni produits sanguins ses parents l'ont soutenue dans sa décision "
" A minuit, une infirmière est venue me dire (Lisa, 12 ans) : je dois te mettre un peu de sang. J'ai crié : je ne veux pas de sang, je suis Témoin de Jéhovah. Vous le savez, n'est ce pas ? vous le savez ? Oui je le sais m'a t elle répondu, et débranchant ma perfusion, elle a branché brutalement la poche de sang On lui a demandé ce qu'elle avait ressenti lors de la transfusion administrée de force. Elle a expliqué qu'elle avait eu l'impression d'être un chien de laboratoire, d'être violée et que , sous prétexte qu'elle était mineure, certaines personnes s'étaient senties autorisées à lui faire ce qu'elles voulaient. "
Réveillez vous du 22 janvier 1995, éd. franç. :
" A propos de Joshua Walker, un adolescent de 15 ans mais que surtout, Jéhovah le regardait avec un sourire approbateur Joshua est décédé le 4 octobre 1994.
La Tour de Garde du 1.2.1996 : éd. fr., p. 15 : " le cas de Dan, un témoin de Jéhovah, âgé de 15 ans, mort de leucémie. "
Le Ministère du Royaume, sept. 1992, éd ; fr. :
" Toutefois, signifiez lui clairement qu'en autorisant que votre enfant subisse tel ou tel traitement, vous ne permettez pas une éventuelle transfusion "
" vous, les parents, vous sentez tenus de continuer à faire tout ce qui est en votre pouvoir pour empêcher une transfusion "
" les parents devraient se montrer très fermes dans leur décision et surtout ne pas laisser penser qu'ils s'inclineront volontiers si une décision de justice est prononcée. "Quelle manipulation mentale par le texte, la culpabilité, la peur !
Mon épouse et moi même, autorisons la publication de cette lettre.
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