Crois et meurs dans l'Ordre du Temple Solaire

• 4ème page de couverture
• Préface
• Commentaires de la presse

Il est assidûment sollicité par les médias pour de multiples interviews, séries et documentaires télévisés au Québec, au Canada, en Suisse, en France, en Grande-Bretagne ainsi qu'aux États-Unis.

« Crois et meurs dans l'Ordre du temple solaire est plus que la confession d'un homme, c'est aussi la meilleure de toutes les mises en garde contre les sectes, ce fléau ravageur auquel la société devra bien finir par tordre le cou sous peine de disparaître à son tour. Vers Sirius ou d'autres abîmes... (Arnaud Bédat, journaliste au magazine suisse L'Illustré) ».

Enfin sauvé de la turpitude de ces marchands d'illusions, l'ancien adepte délivre à son tour un message, mais le sien est une leçon de sagesse. (Éric Lemasson, journaliste de Franc 2, Paris) »

L'aspect le plus remarquable de son livre, lequel apparaît intéressant et instructif pour le public en général, très précieux pour les journalistes, les gens de lettres et tout ceux qui étudient la nature humaine, est la théorie mise de l'avant pour expliquer les suicides/homicides collectifs. Cette théorie originale, fascinante, fondée sur une perception du vécu, en tant que membre de la secte, est très révélatrice de la mentalité collective des adeptes. Elle tient compte de la signification de l'Ordre pour ses membres et s'appuie sur les déclarations enregistrées sur cassettes des auteurs du crime.

Rares sont les mémoires d'apostats de l'Ordre du temple solaire tellement les Templiers toujours vivant sont tenus au secrets, traumatisés, effrayés par la perspective de représailles ou embarrassés par la censure sociale pour raconter toute leur histoire. Il faut donc faire preuve de beaucoup de courage pour produire un tel livre. Pour les érudits et les journalistes occupés à recueillir les pièces du casse-tête que constitue l'OTS, Hermann Delorme ajoute ici un pan essentiel pour le rôle que le chapitre québécois de l'OTS a joué dans la trame des événements et le schisme qui en résulta.

Malgré ses errances à l'extérieur des frontières de la « religion respectable », monsieur Delorme évite ici la tentation de mettre la responsabilité seulement sur les « forces inéluctables des lavages de cerveau », ce qui est la marque d'une franchise certaine. Tout en nous alimentant copieusement d'exemples vécus frappants, tout en nous amusant de sa propre sensibilité aux manipulations, flatteries et supercheries des dirigeants de l'OTS, il conserve toujours le respect de sa propre quête spirituelle et le respect de celle des autres. Cela ne l'empêche pas de déplorer, en même temps, l'arrogance, l'inhumanité et les résultats désastreux dont est responsable la hiérarchie de l'OTS.

La tragédie de l'OTS a laissé une marque très significative sur l'histoire de l'hérésie et sur ses relations religions-état dans les pays concernés. Les hérésiologues pourront, sans aucun doute, trouver dans ce livre sur l'OTS une nouvelle expression de l'impulsion gnostique antinomique soulignée par un rejet radical du monde et du corps tel que prôné par les dirigeants de la secte, et par une grande conviction des membres quant à leur statut d'élites spirituelles.

La mort violente de soixante-neuf personnes a alimenté l'intolérance du public vis-à-vis des minorités religieuses, en particulier de toutes celles du genre apocalyptique. Par exemple, le Parlement européen a été saisi de pétitions pour une meilleure surveillance des activités des sectes et pour une réinterprétation des lois actuelles portant sur ce sujet. Aussi, parce que sans prétention dogmatique, en s'en tenant aux faits ou s'inspirant de la connaissance des faits, en approchant le sujet de façon nouvelle et équilibrée, le compte-rendu de première main de Hermann Delorme sur la vie dans l'OTS sera un document de grande valeur tant pour les historiens que pour les hérésiologues.
 

(*) : Suzan Palmer enseigne au département des nouvelles religions au Collège Dawson à Montréal, en plus d'être professeur-adjointe à l'Université Concordia. Elle est l'auteur de plusieurs livres et articles sur les mouvements néo-religieux. Madame Palmer travaille présentement à la réalisation d'un long métrage documentaire sur le vaste groupement des Enfants de Dieu.

• « Les anciens adeptes de l'Ordre du temple solaire préfèrent l'ombre à la lumière. On ne peut donc qu'être franchement admiratif devant le courage d'Hermann Delorme. Il ne craint plus l'âme maléfique de Luc Jouret ou de Jo Di Mambro : il sort du bois pour témoigner, à visage découvert, de son expérience vécue, sans rien chercher à dissimuler. Il l'avoue d'ailleurs sans pudeur, avec une touchante sincérité, presque brutale : « Ce qu'il m'a fallu être bête et naïf pour me mettre là dedans ! »

Crois et meurt dans l'Ordre du temple solaire est plus que la confession d'un homme, c'est aussi la meilleure de toutes les mises en garde contre les sectes, ce fléau ravageur auquel la société devra bien finir par tordre le cou sous peine de disparaître à son tour. Vers Sirius ou d'autres abîmes... »

(Arnaud Bédat, journaliste au magazine suisse L'Illustré)

•  « Ce qui frappe, c'est le courage d'Hermann Delorme : le courage de se livrer, de s'exposer. Avec lucidité et sans détours, il offre son âme pour mieux mettre en garde. Le lecteur comprend alors que le piège de toute organisation comme l'OTS peut se refermer sur tout un chacun et donc sur lui-même.

Enfin sauvé de la turpitude de ces marchands d'illusions, l'ancien adepte délivre à son tour un message, mais le sien est une leçon de sagesse. »

(Éric Lemasson, journaliste de France 2, Paris)

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