Les adeptes de l'HUE

Cette étude a été réalisée par une ADFI à partir de documents de HUE et de témoignages. Il s'agit donc de l'Energie Universelle et Humaine, appelée également : Energie Universelle, Energie et Partage, Yoga de l'Energie Universelle, HUE, IHUERI.... Doctrine enseignée par DANG et par DUY. Ces deux individus, officiellement "frères ennemis" prétendent, chacun de leur côté, être les "héritiers-dépositaires" de la connaissance de Dasira Narada.

  1. Considérations générales
    1. Sur les adeptes en général
    2. Sur les sectes guérisseuses en particulier
  2. Les adeptes de l'HUE - Études
    1. Qui sont-ils ?
    2. Et d'abord les adeptes "de base"
    3. Les adeptes des niveaux supérieurs
    4. Témoignages divers d'adeptes sur formateurs et formations
    5. Les " Rabatteurs "
    6. Les adeptes, la carotte et le bâton
      1. Le constat des bienfaits de l'HUE (selon ses fondateurs, naturellement !)
      2. Et tout d'abord les résultats concrets, tangibles, de l'enseignement reçu après votre adhésion
      3. Les avantages évidents et... à court terme
      4. La prime des adeptes à la réincarnation
      5. La protection des adeptes
      6. La priorité de l'information
      7. La priorité des découvertes de Maître DANG à la suite du décryptage des codes secrets égyptiens
      8. Les avantages accordés à certains artistes (sous réserve d'une utilisation du chakra 6, naturellement)
      9. Les conséquences d'une visite du maître pour déjeuner chez un adepte
      10. L'avenir perspectives et contraintes


1. Considérations générales

1.1. Sur les adeptes en général

L'adepte n'est pas né adepte ; il s'est fait apprivoiser.

Si l'on peut juger sévèrement le gourou puisqu'il n'est de gourou que de deux sortes: soit malade mental, soit escroc lucide, l'on peut par contre faire preuve à l'égard du disciple, suivant la gravité de son engagement, soit d'un silence tolérant et impuissant à l'égard des plus atteints par le délire contagieux du maître soit d'une présence authentique et d'une philosophie de vie cohérente de nature à faire naître peut-être un jour le doute dans l'esprit de l'adepte, doute salvateur et libérateur.

Quelles sont leurs motivations ?

Pour comprendre ce qu'est un disciple, voyons d'abord les motivations qui sont les siennes.

L'adepte, lorsqu'il entre dans la secte est un individu sincère, généreux, sain d'esprit, en quête d'un enthousiasme, d'un idéal d'une raison d'exister, de ce que certains présentent comme "la Vérité véritablement véridique" (Ivanof).

L'adepte en recherche ressent toujours un choc profond lorsqu'il rencontre le groupe qui se caractérise par une assurance exaltée.

L'adepte trouve alors non seulement un univers mental protecteur (dans lequel ii va "prendre refuge"), mais également un monde dans lequel il va pouvoir approfondir sa recherche intérieure grâce au dialogue avec les condisciples et par imitation de l'enseignement du maître.

Généralement, l'adepte ne sait pas qu'il entre dans une secte (l'appellation de secte est récusée par tous les groupes sectaires) et ce n'est que plus tard et peu à peu que la secte découvre son vrai visage et ses méthodes quand le mécanisme d'appât a été mis en place.

Il est évident que les sociétés occidentales actuelles (et même l'Amérique avec ses expériences de deprogramming) n'arrivent plus à répondre à l'attente d'un certain nombre de personnes qui au demeurant sont totalement saines d'esprit, au moins avant d'adhérer. (bulles n° 16)

1.2. Sur les sectes guérisseuses en particulier

(Extraits de l'ouvrage de Marc Bouderlique "Sectes - Les Manipulations Mentales")

Si l'on est persuadé de pouvoir agir ainsi "par le mental" sur d'autres esprits ennemis et sur la matière, il est évident que la possibilité d'action directe sur le physiologique, le sien comme celui de "patients" devient l'enfance de l'art.

Toutes les Sectes en fait s'attribuent toujours ainsi plus ou moins des pouvoirs de guérison.

Chez certaines, ce sera non pas directement par action de l'esprit sur la maladie, mais par l'emploi de "médecines" dites "douces" , "parallèles ou de remèdes scientifiques et mystérieux ou étranges sans aucune véritable justification scientifique. Leur valeur repose sur la "connaissance" qu'en a le gourou par ses "maîtres" secrets ou la "tradition", ou encore par ses qualités de surhomme.

Quelques réels succès sont parfois obtenus sur des malades souffrant de problèmes d'origine psychique. Cependant, quelque spectaculaires que puissent paraître certaines de ces guérisons "miraculeuses" rien ne prouve qu'elles soient opérées en profondeur et par conséquent définitives. Souvent il y a des rechutes, ou d'autres manifestations ultérieures encore plus graves.

Dans certaines pratiques sous forme d' "entretiens" individuels, il peut y avoir une forte pression suggestive, parfois à forme plus ou moins hypnotique, même si cette dernière demeure ignorée en tant que telle aussi bien du soignant que du soigné.

Dans les pratiques collectives, I' effet de groupe - ou même de foule - s'accompagne d'une auto-suggestion à laquelle il est difficile de résister, surtout si en fait on en recherche inconsciemment le confort et la sécurisation euphoriques.

Dans ces atmosphères de délires collectifs et d'exaltation hystérique, nombre de malades se croient "guéris" ou en grande amélioration subite, ce qui les conduit à cesser tout traitement médical sérieux, conformément aux directives de la Secte. De tels cas sont malheureusement courants et aboutissent à des catastrophes.

Des exemples d'enfants cancéreux retirés de l'hôpital pour pouvoir être "purifiés" par des prières et des impositions de mains sont notoires.

Dans de nombreuses Sectes, on raconte complaisamment nombre de cas d'adeptes qui ont recouvré la santé par des pratiques de méditations ou par des "régimes" diététiques qui paraissent ahurissants (carences ignorées nombreuses, déséquilibres importants). Malheureusement' il est toujours impossible, et pour cause, d'avoir des documents médicaux objectifs indiscutables sur l'état du malade avant et après.

Je sais, certains vont dire "Mais "on" ne sait pas tout, "on" n'a pas encore tout découvert, d'ailleurs il y a des scientifiques qui reconnaissent que la puissance de la pensée... etc..."

Il est certain que notre ignorance reste grande. Paradoxalement, son étendue ne se découvre vraiment qu'à mesure des progrès des connaissances. (C'est ce qui donne tant d'assurance aux analphabètes).

Pourtant, toute connaissance sérieuse ne peut reposer que sur sa constante remise en question et sur son examen critique, sur sa théorisation rationnelle, et non se satisfaire de racontars invérifiés ou invérifiables.

Et "des scientifiques qui croient que la puissante de l'esprit...", il y en a toujours eu, car aucun humain n'est à l'abri de se laisser glisser à ses propres aberrations.

Mais s'il est légitime que des scientifiques essaient d'explorer ces terrains, dans la mesure où il abandonnent pour ce faire la méthode scientifique rationnelle... ils ne sont plus scientifiques.

2. Les adeptes de l'HUE - Études

2.1. Qui sont-ils ?

L'adepte n'est pas né adepte, il s'est fait apprivoiser.

Si l'on peut juger sévèrement le gourou, puisqu'il n'y a de gourou que de deux sortes: soit malade mental, soit escroc lucide, l'on peut par contre faire preuve à l'égard du disciple suivant la gravité de son engagement, soit d'un silence tolérant et impuissant à l'égard des plus atteints par le délire contagieux du maître, soit d'une présence authentique et d'une philosophie de vie cohérente de nature à faire naître un jour le doute dans l'esprit de l'adepte, doute salvateur et libérateur "

C'est toujours vrai... dans l'étude du cas de l'HUE.

On retrouve dans l'HUE les mêmes adeptes que dans les autres sectes, les mêmes que dans toute secte.

2.2. Et d'abord les adeptes "de base"

Des gens qui ne peuvent pas être considérés, loin s'en faut souvent, comme des imbéciles (au sens latin du terme: faibles d'esprit), ni forcement naïfs, ni particulièrement fragiles. Une partie a pu être fragilisée par un certain isolement, une certaine exclusion, une certaine angoisse devant des progrès mal maîtrisés de la science et des techniques, par la maladie aussi d'un proche parent, enfant, conjoint, à laquelle aucun soin ni aucun médicament n'ont pu apporter d'amélioration.

Des gens sincères, sains d'esprit, enthousiastes, plus enclins au doute que cuirassés de certitudes, qui ont besoin de parler, de communiquer, de se dévouer en s'engageant dans un groupe au premier abord chaleureux et fraternel, dans un groupe-refuge aussi.

Ceux-là, les plus nombreux, et parmi lesquels on trouve, pêle-mêle, des enseignants du privé comme du public, des fonctionnaires de toutes administrations, des " praticiens de santé ", des membres des professions libérales (ou leurs conjoints désoeuvrés); ceux-là, attirés par un seul appât (" apprendre à se soigner et à devenir utile en soignant les autres ": témoignage) ne dépasseront pas généralement le niveau 2. Ils n'iront pas plus loin mais continueront souvent obstinément à " oeuvrer " avec ce stade de connaissances, pour s'autojustifier, pour ne pas reconnaître qu'ils se sont trompés et qu'ils on été trompés. Ils n'iront pas plus loin, mais ils n'iront pas proclamer leurs doutes... par peur tout court, par peur du " qu'en dira-t-on ", des sarcasmes, du ridicule.....

Et puis.... il y a ceux, " d'un niveau scolaire très bas " parfois, qui voient dans l'HUE, aussi, en plus, une promotion sociale et socio-économique, dans leur engagement initialement (et pour cause) mal défini aux côtés " de personnes instruites " (médecins, acupuncteurs, sage femmes, infirmières, aide soignantes), qui sont des " amies ", suivent le même chemin et soulagent "déjà tant de personnes". (témoignage adepte DUY).

Exemples qui leur sont cités et qu'ils n'ont pas l'idée ni la possibilité de vérifier. Le témoin anormalement curieux, se livrera à ces vérifications et ajoute plus loin:

Malheureusement, il y a de vrais médecins, et de vraies infirmières aussi.

Et puis... il en est qui voient, dans cette HUE qu'on leur présente, une façon moderne, actualisée de renouer avec des traditions régionales quelque peu désuètes, oubliées, des " barreurs de feu " de leurs grands parents.

Et puis... il en est, dont la situation de leur conjoint est telle qu'il est de bon ton de s'occuper de bonnes oeuvres, qui voient dans l'HUE une réponse facile qui peut convenir à cet objectif.

Et puis... il y a ceux ou celles, qui, lassés du " Mikado " ou du " Mah-Jong " voient dans l'HUE, un nouveau jeu, bien plus amusant que leurs jeux habituels.

Et puis... et enfin pourrait-on dire... il en est dont les motifs d'engagement ne sont plus avouables du tout:

Et qui vont... d'ailleurs de secte en secte, sans se fixer.

2.3. Les adeptes des niveaux supérieurs

Lorsqu'on arrive aux niveaux 4 et 5, c'est le silence tolérant et impuissant, car si les adeptes sont toujours sincères, nous ne sommes plus en présence de la même sincérité : de cette sincérité des néophytes, originelle, virginale, (?). Nous sommes devant la sincérité de manipulés.

Ces adeptes, devenus souvent formateurs, parfois en quittant leur emploi stable et en prenant une retraite proportionnelle, sans compétence particulière au niveau de la pédagogie, de la psychologie.... sont parfois jugés avec sévérité par leurs " élèves ", contribuant heureusement par leurs insuffisances (comme par leur suffisance) à en décourager et à en éloigner un nombre appréciable.

2.4. Témoignages divers d'adeptes sur formateurs et formations

DUY (Montpellier)

"Ceux qui donnent des cours disent qu'ils sont CANALISES par DUY ou par Dasira NARADA, et qu'alors les mots qu'ils prononcent ne sont pas les leurs, mais que ces mots leur sont " soufflés ". Résultat : certaines de ses personnes qui par ailleurs présentent un certain charisme sont véritablement idolâtrés".

DUY (Aquitaine)

" Nous avons passé des heures à écouter un cours minable (pas de plan, des répétitions, du flou). Bien mené et correctement bâti, ce cours nous aurait occupé chaque jour 30 minutes maximum, et la complexité correspond à peine à celle d'un cours proposé en classe de 6ème. Mais alors du folklore : habits blancs pour tous, encens qui brûle, certains pieds nus, initiation à la méditation en rond. L'ouverture des chakras est aussi un moment entouré de symbolisme... "

" Pendant les formations, les réactions sont très variées. Il y a les convaincus qui notent tout, l'air satisfait, sans questionner; il y a les illuminés qui voient les chakras des autres tourner, et en couleur pendant la cérémonie d'ouverture des chakras (voir DANG id.), qui ressentent la maladie de leurs voisins, etc...; il y a ceux qui ont peur et qui ne quittent pas leur montre des yeux en attendant la fin ; et puis ceux qui posent des questions sans arrêt (les mauvais élèves) et s'amusent un peu en plaisantant lors des séances d'entraînement aux soins... "
 

DANG (Marseille)

GEMPI: Qu'est-ce qui vous a amené à tout laisser tomber ?

C.P.: Deux choses principales :

2.5. Les " Rabatteurs "

Point n'est besoin d'explication. Rabatteurs - adeptes - prosélytes - ou rabatteurs intéressés, on n'ose dire au pourcentage.

Un témoin d'Aquitaine déclare : une certaine partie des personnes semble rabattre les nouveaux : un ostéopathe de la ville de D..., un kiné habitant à B... dirigent ainsi leurs clients vers l'HUE.

2.6. Les adeptes, la carotte et le bâton

2.6.1. Le constat des bienfaits de l'HUE (selon ses fondateurs, naturellement !)

" Que vous a apporté l'HUE par notre intermédiaire ?", pourraient questionner les " Maestri " DANG et DUY.

Mais ils préfèrent toujours donner les réponses sans poser les questions. On ne sait jamais... :

2.6.2. Et tout d'abord les résultats concrets, tangibles, de l'enseignement reçu après votre adhésion.

2.6.3. Les avantages évidents et... à court terme

(Notez des divergences importantes entre DANG et DUY sur les conséquences capillaires de l'HUE sur les adeptes) :  

2.6.4. La prime des adeptes à la réincarnation

2.6.5. La protection des adeptes

Question d'un adepte, soucieux d'une couverture familiale analogue à la sécurité sociale : Réponse intéressante car elle constitue un modèle de langue de bois :

2.6.6. La priorité de l'information

Sur les réincarnations des Êtres Supérieurs en 1997 (ndr : il va devoir ce cher Maître une fois de plus tripatouiller ses textes et ses dates, j'en ai bien peur) : Avec une mention spéciale pour la déesse NOUT (que tout le monde connaît, mais à qui Maître DANG prête une nouvelle légende) :

2.6.7. La priorité des découvertes de Maître DANG à la suite du décryptage des codes secrets égyptiens

2.6.8. Les avantages accordés à certains artistes (sous réserve d'une utilisation du chakra 6, naturellement)

2.6.9. Les conséquences d'une visite du maître pour déjeuner chez un adepte

2.6.10. L'avenir perspectives et contraintes

Quel avenir !... dès l'an prochain. Car le constat ne peut qu'inciter les adeptes à aller plus loin. La carotte sera plus belle, plus appétissante, même.... si les efforts pour s'en saisir devront être plus méritoires.

a) L'avenir : perspectives - (Chez DANG niveau 5)

Et puis encore : Et enfin : b) Les contraintes d'avenir

Devant ces perspectives grandioses, il n'est pas question... d'hésiter :

Voici une version inédite de " MARCHE ou CRÈVE ". Il ne saurait être question "d'embrouiller" les autres... et le gourou ou... les formateurs... par des questions justement !

Chez Maître DUY (Aquitaine 96) (témoignage)

Il n'est pas interdit de poser des questions mais ce n'est jamais le moment de nous répondre. C'est toujours trop tôt : "Le Maître a dit": c'est ce qu'on nous répond.

A un élève qui à Montpellier avait cru devoir humblement faire remarquer à Maître DUY que son énoncé des symptômes d'une maladie ne correspondait pas du tout à cette maladie mais a une autre fort différente, le "Maître" a répondu qu'il était libre, si son enseignement ne convenait pas à l'élève, de quitter les cours et le stage (Témoignage rapporté par un participant au Niveau 3 - 1995)

II faut se concentrer et pour cela :

Quand bien même une personne étrangère y serait admise, elle ne pourrait participer à aucune des discussions qui animent les soirées tard dans la nuit.

Au cours de ces discussions, toutes les questions, tous les malentendus et tous les doutes sont démontés et trouvent leur réponse. Idem pour toutes les angoisses... créées par les nouvelles "prises de conscience" et les "soins" (que seuls ceux qui ont suivi "l'enseignement" peuvent prodiguer).

Le cercle d'amis s'agrandissant, ces contacts deviennent de plus en plus fréquents et inévitables. L'auto lavage de cerveau est alors assuré et de façon bien plus insidieuse que par celui pratiqué par un gourou, puisqu'il est pratiqué par vous. On reste entre amis. Les seuls avec qui on peut discuter des VRAIS problèmes. Le plaisir de se retrouver, la peur de la solitude sont les remparts de ce cercle faussement protecteur.

Les doutes s'estompent au fur et à mesure. A quoi servirait une remise en question, si ce n'est a s'exclure d'un groupe dans lequel on se sent enfin compris, entouré et choyé. Tout tend à l'inhibition du sens critique, à l'enterrement de toute rationalité.

C'est si naturel de se laisser tenter et de se retrouver au 4ème niveau (Témoignage N3 DUY 1995 Montpellier).

Des mesures s'imposent toutefois envers "ceux qui ont des doutes ou qui n'acceptent pas l'enseignement HUE". Verdict : ils ont rejoint le camp de tous ceux qui ne font pas partie de l'HUE, c'est le camp des "pollués". C'est net. II existe (dit un témoin N3 DUY) un remède pour ramener la brebis galeuse dans le droit chemin : méditer tous en rond en concentrant ses pensées vers elle... Et si cela ne marche pas, reste à prévenir DUY par téléphone, pour qu'il intervienne à distance, et libère des mauvais esprits cette pauvre créature.

Il faut se donner, il faut foncer :

Il faut consacrer plus de temps à l'HUE, en sacrifiant une vie sociale et familiale normale, mais le but vaut bien ces quelques désagréments, amenés d'ailleurs très progressivement dans l'esprit des adeptes pour Maître DANG : Pas très clair tout cela, alors Maître DANG va un peu plus loin, revenir sur cette question : Non bien sur, mais si vous le faites, sachez bien ceci : Il ne faut pas ménager sa peine, serait-ce au détriment du sommeil, d'ailleurs le sommeil, il faut en parler : Ainsi :


 
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